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 Ho Ran Gi Hû

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Ho Ran Gi Hû Vide
MessageSujet: Ho Ran Gi Hû   Ho Ran Gi Hû Icon_minitimeVen 31 Juil - 16:18

Identitié:


Nom: Hû
Prenom: Ho Ran Gi
Sexe: Masculin
Age: 12 ans
Nationnalité: Chinoise
Orientation sexuelle: L'est peut-être un peu jeune pour se décider, nan?
Race & groupe: Thérianthrope
Ame: White

Animal: Tigre Blanc

Biographie:


Votre légende:
Né dans une famille aisée, Ho Ran Gi avait été élevé dans le luxe et la prospérité. Il avait ce qu'il voulait quand il le voulait. En bref, c'était un enfant gâté. Ses parents étaient très attentifs à leur "petit poussin" comme ils le disaient si bien, et prenaient donc soin de lui, le couvrant d'amour, de tendresse, d'attention. Ce trop plein de tendresse et d'affection avait rendu le petit garçon très (trop?) attaché à ses parents. Il n'était pas autonome, pas débrouillard du tout. Il était même maladroit et suivait partout ses parents, à la manière d'un poussin. Il ne montrait aucun signe de révolte, ne faisait aucun caprice. Il était sage et extrêmement timide.
Ho Ran Gi adorait recevoir cet amour, il y était habitué et ne savait rien faire de lui-même car trop jeune et surtout trop attaché à ses parents, et donc le fait de se retrouver seul du jour au lendemain laissa place à un grand vide dans l'univers du garçon. Son Univers qui reposait sur une seule et unique chose: son père et sa mère. Alors, quand on enlève une base à quelque chose, tout s'écroule d'un seul coup, comme un chateau de cartes et on a du mal à y remettre de l'ordre...

Cet évènement imprévu se déroula lors d'une soirée normale. Les parents étaient allés le coucher et l'avaient bordé avec tendresse, comme toujours. Ils quittèrent la chambre l'un après l'autre après avoir déposé un baiser sur le front du garçon, dont les yeux semblaient si lourds. Il s'endormit juste après.
Ho Ran Gi était alors plongé dans un long et profond sommeil, dans son lit douillet et à ses côtés, Mao, son chat qui roupillait lui aussi. Seulement, un peu plus tard dans la nuit, il fût éveillé, car son chat descendit du lit, laissant derrière lui une place vide et froide. Il s'assit alors et se frotta le visage, fatigué.

"Mao?"

Il retira la couverture et posa ses pieds à même le sol. Un frisson parcourut son corps: le sol était froid. Qu'importe. Il se leva donc et prit une peluche qu'il serra bien contre lui. Son ours entre les bras, il traversa la chambre d'un pas mal assuré, il faisait si sombre. La porte était, comme toujours, légèrement entrouverte afin qu'un rai de lumière pénètre dans la chambre, ne le laissant pas totalement dans l'obscurité. Alors qu'il allait poser sa main sur la poignée de sa porte, il entendit un bruit sourd venant d'en-bas. Qu'était-ce donc? Quelqu'un était tombé?
Il serra un peu plus son ours en peluche et s'engaga dans le couloir sombre. Effrayé par les ombres, et par ce bruit étrange, son coeur s'accelera. Il battait si fort que le jeune garçon se l'imaginait sortir de sa poitrine tremblotante. Il avançait lentement. Arrivé aux escaliers, il vit Mao posé sur une marche, le dos rond, les poils hérissés, les crocs luisant sous la faible lumière, un sifflement aigu franchissait ses babines retroussées. Il était effrayé. Ho Ran Gi voulut l'approcher, il tendit une main vers le chat, mais celui-ci décampa à une vitesse fulgurante. Un bruit lui avait fait peur...Un bruit de métal...mais aussi un bruit de liquide giclant sur le sol. Ho Ran Gi avala sa salive et crispa ses mains sur sa peluche. Il commença à descendre les marches doucement...

Il entendait des voix, des petits chuchottements mais ceux-ci s'interrompirent lorsque le garçonnet tomba lourdement sur le sol après s'être prit les pieds dans le tapis. Effrayé par les bruits de pas, il se transforma en petit Tigre blanc et partit se cacher sous un meuble. Il ferma les yeux et tentait de calmer sa respiration, tandis que deux hommes apparurent dans la pièce. Il entrouvrit ses prunelles jaunes et observait les deux intrus. Il n'arrivait pas à bien distinguer ces silhouettes noires qui faisaient maintenant le tour de la maison. Qui étaient-ils? Que venaient-ils faire ici?
Lorsqu'ils se rendirent à l'étage, Ho Ran Gi, toujours en petit Tigre, alla dans une autre pièce, celle où ces deux personnes se tenaient tout à l'heure. Son coeur faillit exploser dans sa poitrine. Il reprit forme humaine, inconsciamment, et des larmes lui montèrent aux yeux, roulant sur ses joues blanches. Ses parents étaient là, sur le sol, et baignaient dans un liquide visqueux et pourpre. Il se dirigea vers eux, tendant ses bras, et lachant du même coup son ours qui tomba avec un bruit écoeurant dans ce liquide écarlate. Sa mère dût rassembler ses dernières forces pour le supplier d'aller se cacher, de ne pas se faire tuer. Sa voix était emplie de chagrin et de souffrance. Le petit garçon reprit son apparence bestiale et se réfugia sous une armoire, ne quittant pas les yeux de sa mère. Celle-ci se mit à chanter une berceuse, celle qu'elle lui sussurrait à l'oreille les soirs de pluie et d'orage, sa voie était douce et rassurante. Les intrus pénétrèrent dans la pièce et ce qui suivit restera gravé à jamais dans la mémoire du garçon.

Ses parents ne reviendraient plus...

Ho Ran Gi resta dans la maison pendant près d'une semaine, contre les cadavres pourrissants de ses parents. Même si ils étaient morts, il ne pouvait se résigner à se séparer d'eux. Ses forces l'abandonnaient petit à petit, et sa santé se dégrada rapidement. Il finit donc par s'endormir auprès des êtres qui lui étaient les plus chers au monde, ne souhaitant plus jamais se réveiller.
Il finit tout de même par ouvrir les yeux, il n'était plus dans sa maison. Où était ses parents? Où était-il? C'était un groupe de voleurs qui l'avait recueilli et soigné. Ils le nourrissait et le logeait, sans qu'Ho Ran Gi sache pourquoi. Ils auraient pu le laisser là, ou bien l'achever. Il lui fallut donc du temps pour s'adapter à ces gens, à leur présence, mais surtout à l'absence de ses parents.
Quand il leur fit entièrement confiance, il deignat sortir de sa chambre, découvrant le nouveau monde dans lequel il venait d'entrer: il n'était plus en Chine, mais au Japon. Ses nouveaux amis lui annoncèrent qu'il se trouvait dans la plus grande ville du monde: Tokyo!
Il lui fallut apprendre la langue et certaines coutumes locales. Il n'était plus seul, mais le vide laissé par la perte de ses parents persistait en lui.
Bientôt cependant, ceux qui l'avaient pris sous leur aile lui annoncèrent qu'ils ne pouvaient pas le garder indéfiniment avec eux, qu'il allait devoir se débrouiller seul. Ils lui expliquèrent que rester avec eux était beaucoup trop risqué, puisqu'ils étaient des voleurs et qu'ils avaient des comptes à rendre avec des personnes plutôt peu fréquentables. Le jeune Thérianthrope se retrouva donc livré à lui même dans une ville qu'il ne connaissait pas.


Psychologie:
Commençons par le plus simple et le plus évident: Ho Ran Gi est le parfait contraire de l'image que nous collons habituellement aux Tigres. J'entends par là qu'il n'a pas ce petit coté assoiffé de sang que nous leur connaissons si bien, et il est loin d'être un être cruel et sadique, il éprouve même une forte répulsion à la vue du sang et ne supporte pas de voir la souffrance d'autrui. Notre jeune garçon est en premier lieu un froussard de la meilleure qualité. Il s'effrait pour un rien, et préfère le plus souvent fuir devant le danger ou bien, si il finit tétanisé, térrassé par la peur, il se met alors à pleurer, tout simplement. N'allez pas le condamner, ce n'est encore qu'un enfant.
Ce jeune garçon est bourré de contradictions: il a peur des autres, pourtant il souffre de la solitude... Il est cependant incapable d'avancer vers les gens, et sa nature ne l'aide pas vraiment. Il a peur de blesser et d'être blessé, alors il se met à l'écart. Il est d'une extrème timidité, aussi, il peut paraitre un peu naïf lorsque nous le recontrons la première fois, il peut même sembler distant au début, pourtant, il est d'une gentillesse profonde, sa confiance est grande envers les gens qu'il apprécit... Peut-être trop grande d'ailleurs, car il accorde sa confiance bien facilement...
Son visage exprime en permanence la peur et le chagrin, pourtant, comme tous les autres enfants de son âge, il aime passer des heures entières à jouer, à s'amuser. Une plaine d'herbe et de fleur devient vite une aire de jeu, une maison abandonnée devient le pretexte d'une aventure palpitante où son imagination débordante déroule sous ses yeux des histoires d'explorateur à la recherche d'un trésor, de héros secourant des gens des griffes de quelques monstres hideux. Sa curiosité naturelle le pousse à découvrir l'Inconnu, mais sa prudence légendaire lui pose des barrières infranchissables.

Physique:
D'un aspect général, nous pouvons voir sans problème que le garçon n'est ni grand, ni musclé, même si il dissimule son corps sous plusieurs couche de vêtement. Il est plutôt du genre petit et maigrichon avec ses 1m42 pour à peine 31 kg, il n'a donc pas de carrure et s'efface très vite dans la foule, on ne le remarque pratiquement pas. Cette allure est le résultat de ses interminables jeuns, de ses angoisses et peurs, et de ses insomnies. Il a une démarche souple et légère, mais en même temps, très discrète.
Discret dans l'allure générale, certes, mais au niveau de la tenue, il ne passe pas toujours inaperçu. La plupart du temps, il porte une tunique typiquement chinoise, blanche aux bordures dorées, ainsi qu'un pantalon ample de couleur noire qui épouse parfaitement ses gestes et lui confère une grande capacité de mouvements. Mais il lui arrive aussi de s'habiller plus, sobrement dirons nous, dans ces cas là, il porte un simple uniforme de collégien japonais, composé d'un short bleu marine et d'une petite veste de la même couleur ornée de petits boutons argentés. Pour completer sa tenue, il garde en permanence un bandeau rouge décoré du signe du Yin et du Yang à son front.
Autre élément qui détonne chez lui, sa peau et ses yeux. En effet, sa peau est diaphane ce qui lui donne un petit coté maladif et fragile. Cette pâleure est en partie dû au fait que le jeune garçon soit un thérianthrope et que son animale soit un Tigre à la fourrure blanche comme la neige. Ses yeux tiennent aussi au fait qu'ils soient ceux d'un Tigre, leur iris est doré et leur pupille en fente. On y lit le plus souvent la peur et la tristesse, mais ils peuvent aussi refléter l'intelligence, la joie, l'innocence.
Son visage est fin et enfantin, harmonieux et doux. Il a une bouche finement dessinée, et un petit peu plus colorée que le reste de son visage. Quand il sourit, ce qui reste tout de même assez rare, on peut appercevoir ses canines aiguisées.
Pour finir, ses cheveux sont comme les plumes d'un corbeau: d'un noir profond aux reflets bleutés. Légèrement ébouriffés, ils lui retombent en mèches inégales dans le visage. Ils sont mi-longs pour l'essentiel, mais une queue de cheval enroulée dans un tissus blanc commence dans sa nuque et lui arrive jusque sous les genoux.


Pouvoirs & Armes: Il ne se bat pas, mais au besoin il a toujours ses crocs et ses griffes. Il possède bien évidemment certaines aptitudes félines: agilité, souplesse, vivacité.
Relations: Euh...

Vous:


Code: Codes validés by Okami
Prenom/Surnom: Kabu, Suprème Roi des Navets et Futur conquérant de notre Monde
Age: 19 ans
Pays et/ou Département: Paris
Présence sur le forum: Pendant les vacances, je suis plutôt active, mais lorsque les cours reprennent, vous ne me verrez pas plus qu'une fois par semaine (deux, si le coeur m'en dit...)
Comment avez-vous découvert le forum? Par ma soeur: Ton Bo!
Comment trouvez-vous le forum? Très beau, et accueillant =D
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Ho Ran Gi Hû

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