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 Sujet: Azaria Van Envrio  Dim 24 Mai - 3:19 |
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Identité
► Nom : Van Envrio
► Prénom : Azaria
► Sexe : Femme
► Âge : 175 ans
► Nationalité : Italienne
► Orientation Sexuelle : Bisexuelle
► Race & Groupe : Vampire
► Âme : Grey !
Les notions de Bien et de Mal me sont inconnues. Ce n'est que le Noir et le Blanc, qui, petit à petit, devient le Gris.
Biographie
► Votre Légende ( Histoire )
<< Azaria. Tuo padre ci ha lasciato. >>
La jeune fille avait relevé la tête. Comment réagir lorsqu’on vous annonce pareille chose ? De nos jours, cela arrive souvent, et des gens qualifiés sont présents pour vous aider. Mais pas à l’époque. Du haut de ses huit années, Azaria était l’aînée d’une famille de onze enfants – un enfant par année, ainsi que deux couples de jumeaux – et se devait donc de faire vivre sa famille avec sa mère. C’était son devoir.
Mais la fillette ne voulait pas de ses corvées, elle en avait plus qu’assez e toujours être prise pour laver et frotter, et travailler des heures, alors que toutes les filles de son âge jouaient à la poupée. Aza, surnommée ainsi par sa mère, rêvait pour ainsi dire d’être une poupée vivante – riche et belle et charmante. Elle s’endormait en pensant aux robes vues cette journée là lors de son passage au marché ( ou elle essayait de voler quelques denrées, sinon de prendre les restes quasi-pourris ) et en espérant les porter un jour. Peine perdue, pauvre petite, l’argent lui faisait défaut.
Après des années ‘’d’esclavagisme ‘’, et bien que ses frères et sœurs aidaient également, la mère d’Azaria n’eut plus le choix. Une femme ne pouvait pas travailler, ou alors seulement dans une discipline pas très catholique, et donc elle n’avait point d’argent car les jeunes hommes de la famille étaient encore très jeunes, trop jeunes. Bref, seul moyen de faire un peu de profit – donner sa fille en mariage. Une bouche de moins à nourrir, et une très maigre dot. L’homme était un bourgeois sans manière, auto centrique et complètement détestable.
Des lunes passèrent, et des cycles, et des années. Chaque jour qui passait amenait avec lui lot de misère – car son mari ne la nourrissait pas assez, elle était malade et manquait de force. Ce ‘’ don du ciel ‘’ la traitait en esclave, la violait à tout moment. Et comme elle ne tombait pas enceinte, il la battait. Et tout cela recommença. Mais Aza finit par en avoir assez.
Elle s’en souvient, car ce fut son premier meurtre – à l’état pratique de la chose disons. Un meurtre gratuit, car il ne servait à rien d’autre que la satisfaire. La nuit était fraiche, le ciel avait été d’un rouge perçant lors du crépuscule. Son barbare de conjoint avait même insisté pour la violée près d’une fenêtre ce soir-là. Oui, salaud, profite en bien ce sera la dernière fois. Et lorsqu’il sombra dans un sommeil, elle se leva, ses yeux perdus et les lèvres serrées. Le couteau de cuisine avait été préalablement caché dans la penderie – elle le prit. Sa main se glissa sur la gorge de l’homme, il marmonna dans son sommeil et ronfla de plus belle. La lame se glissa ostensiblement sur sa jugulaire et d’un sec, elle trancha. Adieu, chéri – j’emprunterai ton argent.
Elle fuit, retourna au domicile qui l’avait vue naitre. Sa mère ne voulait plus d’elle. Car c’était Azaria la sale petite criminelle, dorénavant. Qu’importe – la jeune femme laissa les sacs d’or dans la maison. Pour sa famille, qu’elle aimait malgré tout.
Elle était libre, elle se sentait bien. Et pour la première fois depuis des années, elle ne se sentait plus observée. Mais elle était en proie à une douleur sans nom : la solitude. Plus de famille, plus d’amis, rien. Même pas de toit. Et la crainte que les policiers la reprenne.
Cela arriva effectivement. Il était tard, elle était étendue dans une ruelle de la haute Italie et elle n’avait pas entendu les hommes arriver. Des représentants de l’ordre – des amis de son salaud adoré. Ils l’empoignèrent avant même qu’elle ne s’en rendît compte. Leur but était clair ; la faire souffrir avant de la plonger dans un sommeil éternel. Charmant. Alors que l’un la rouait de coups de pied, et qu’elle hurlait de douleur, un autre semblait tout bonnement attiré par l’idée de déchiré sa robe et de...
<< Non. Pas encore >>
Pas un ne comprit la langue qu’elle avait employé – ce n’était pas l’Italien mais un Français fort accentué, langue des affaires. Mais cela marquait tout de même la fin pour elle.
Soudain, une ombre surgit, tomba premièrement sur celui qui la battait, puis sur celui qui s’acharnait sur ses haillons. Il empoigna bien vite les autres et les tua – assez sanglant, comme combat. Massacre même. Puis il se retourna vers elle.
« Ma princesse ! Ou tu étais ma petite chérie ! Je t’ai cherchée partout ! »
Il ouvrit les bras et Azaria ne chercha même pas à comprendre. Elle savait qu’il était vampire – ça se voyait. Mais cet homme l’aimait. Elle se jeta contre son torse et le laissa jouer dans ses cheveux, telle une enfant. Les larmes coulèrent tant son soulagement était intense. Et elle l’aima autant que lui pu l’aimer. La princesse de Frédérique – la jeune femme belle et capricieuse. Il la tua et la ramena. Immortelle à son tour, dans l’amour. Et les Van Envrio l’accueillirent comme leur sœur, leur cousine, leur amie. Azaria Van Envrio, princesse du maitre.
Et elle l’adulait, encore et toujours, pour l’aide et la chance. Pour le luxe après la douleur.
Invité? Tu veux jouer avec moi ? Dis ouiiiii. Tu n'as pas le choix de toute façon.
► Psychologique
Vous avez dit exigeante ? Plus que ça, Azaria est une véritable peste lorsqu’il s’agit des biens qu’elle veut acquérir. La raison en est fort simple : elle n’accepte plus la misère. Sa vie en a été faite assez longtemps, elle n’en a plus besoin. Qui donc s’en contenterait lorsqu’une simple crise, un caprice, peut vous valoir l’or et l’argent, les pierres précieuses les plus rares ? Tout ça parce que votre père est le Roi des vampires. Et elle n’est pas folle non plus, elle sait qu’elle est belle et qu’elle charme – et si son pouvoir de séduction n’opère pas sur ses semblables, ils sont tous à ses pieds quand même.
Faces à ses cousins, elle est d’un mépris total – ils ne méritent pas son attention, ne sont que des esclaves. On dirait même qu’elle cherche à faire connaître ses souffrances aux autres. Elle a extrêmement peur que Frédérique perde le pouvoir – en ce sens, elle le défend. Perdre son statut de princesse lui est insupportable, alors elle est très protectrice envers lui, et quiconque voudrait lui faire du mal le paierait très cher.
Azaria est une femme jalouse et possessive. Si le centre d’attention n’est pas sur elle, la vampire fait tout pour qu’il lui revienne – aimer-la, dorloter-la. C’est le mieux qu’on puisse lui offrir. Manipulatrice, elle sait exactement comme se faire adulée également. Elle en profite souvent, et ce au mépris d’autres personnes. Quant à sa patience… niet. Elle ne demande rien, elle le veut. Et comme son papa chéri lui offre tout ce qu’elle exige, elle s’en contente et l’aime encore plus.
► Physique
<< Mais je suis BELLE ! >>
Bien sûr qu’elle l’est. Elle le sait un peu trop, même. Mais est-ce de sa faute ? Car après tout, on lui a appris à s’aimer, et à se savoir belle. Personne ne pourrait résister à… à… ça.
Sa peau blanche satinée semble étinceler de mille feux, point de lumière dans l’obscurité de la nuit. Traits droits et angéliques, expressions de poupée de porcelaine... Un épiderme et un facial parfaits. Ses sourcils toujours taillés au poil près surplombent des yeux étirés d’un rouge rosâtre étrange, souvent rehaussé à l’aide de poudres colorées. La plupart du temps, il s’agit d’une ligne blanche puis d’un fondu du même ton que ses iris. Parfois, elle ose plus, parfois c’est plus terne – selon son humeur. Ses cils sont quant à eux allongés à l’aide de mascara, semblant encore plus épais et longs qu’ils ne le sont déjà. Enfin, une ligne de khôl se trouve sous son globe oculaire.
Ses lèvres sont d’un rose intense elles aussi, presque violacées, ce qui ajoute à l’impression de petite poupée – ou de princesse, c’est au choix. En forme de cœur, elles sont plus qu’attirantes pour qui ne la connaît pas. Ou pour qui ne connaît pas les canines qu’elles enferment, plutôt. Elle ajoute même au tout plutôt frappant en colorant ses ongles d’un vernis aussi lisse que coloré – devinez-en la couleur, mesdames messieurs & meshermaphrodites.
Une cascade de cheveux blancs nacrés ondulés entourent le visage maigre de la vampire. Son corps quant à lui est féminin jusqu’au bout. Grand et mince, balancé, il laisse voir une poitrine ronde et alléchante, ainsi que des hanches non proéminentes, mais bien présentes. Ses longues jambes sont fermes, et sa démarche est si gracieuse qu’elle en hypnotise plus d’un. Divine, vous avez dit ?
Azaria est tout de même conservatrice – elle aime avoir un accessoire ou un habit Italien sur elle, si minime que ce soit. Sinon, la princesse du number one des vamp’ aime à porter des robes serrées, montrant ses formes, attirant les hommes et les femmes. Les piègant.
► Pouvoirs & Armes
Régénération, quasi-Immortalité, vitesse et agilité accrues, vision nocturne, presque aucun besoin d'oxygène, transformation en chauve-souris , capacité à charmer ceux qui la regarde... Je suis une vampire. Ma puissance est infinie. Ou presque.
Qui a parler d'armes, d'abord ? Parce que celui-là n'est pas très malin.
Des dents, vous connaissez ?
► Relation
Fille de Frédérique Van Envrio.
Soeur de Suzu, Elyess, Min-Soo et Celeste Van Envrio.
Nièce de Amael Van Envrio.
Vous
► Codes : CODES OKAY BY OKAMI
► Prénom /Surnom : Mariche'
► Âge : 15 ans
► Pays et/ou Département : Le Québec ! C'est pas un pays ? Zut.
► Présence sur le Forum : Je peux venir chaque jour normalement, après pour les réponses ça dépent
► Comment avez vous découvert le Forum ? Par une publicité
► Comment trouvez-vous le Forum ? J'adore le concept, j'adore le design [ Quoi que l'histoire sur la page d'accueil soit un peu envahissante..]. Mais je suis en amour avec lui. Oui, je la ferme.
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| Sujet: Re: Azaria Van Envrio Dim 24 Mai - 13:05 |
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Bienvenue jeune vampire =)
Je pense que tu as le niveau requis pour ce personnage, j'attends l'avis du grand maitre mais je pense que c'est bon x)
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