Découverte [Zena]

Invité

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Akio fronçait les sourcils, bras croisés, le regard braqué sur cet immense amas de métal qui lui faisait face. Un homme se trouvait derrière elle, pas très à l'aise.

"Heu........Akio-sama......"

"Quoi?"

Elle avait répondu d'un ton brusque, le regard toujours fixé sur la Tour de Tokyo. Car c'est là qu'ils se trouvaient.
Akio voulait voir ce qu'était que la Tour de Tokyo, bien qu'elle était plus ou moins à la page sur les nouveauté de cette époque, elle n'avait jamais vu cette tour, n'ayant put qu'entendre ce qui se disait sur le domaine sacré pendant son emprisonnement. Et comme lors de tous ses déplacement, elle était accompagné d'un des domestiques de la maison. Ordre d'Oji-san.
Au début, c'était plutôt des femmes qui l'accompagnait, et cela ne la gênait pas d'être suivis, ayant besoin d'un guide pour ne pas se perdre. Mais ces dernières avaient tendance à l'emmener dans des magasins de vêtements pour lui faire essayer tout plein de vêtements bien plus "féminin" que ce qu'elle portait selon leurs dires. Autant prévenir que ce ne fut pas du tout aux goûts de notre déesse.
Dernière sortie en date avec l'une de ces domestiques? Tout simplement lors de la dernière secousse qui secoua Tokyo. Et comme vous pouvez le deviner, la secousse était made in Akio. Et il n'y eut pas qu'une simple petite secousse, elle avant tellement ras le pompon(et y en avait sur la tenue XD) que la bouteille d'eau de la fontaine(vous savez les super grosses), en libre service pour les clientes, explosa. Ce fut un vrai déluge, clientes comme articles, tout étaient trempés.
Depuis, ce ne sont que les domestiques de sexe masculin qui l'accompagne, et ces derniers ne sont pas très à l'aise. Ils craignent sûrement une nouvelle crise de nerf.
Mais revenons au présent, la petite déesse se tourna vers le domestique et son regard s'adoucit (manquerait plus qu'elle le fasse flipper).

"Qu'est-ce qu'il y a?"

"Et bien......vous vouliez voir la Tour, mais vous restez là sans bouger à la regarder. Ne vaudrait-il pas mieux monter dedans et aller à son sommet?"[b]

Akio le regarda interloqué.

[b]"Monter dedans? Je ne vais tout de même pas escalader ce grand machin de ferraille!"

Le domestique ne savait pas s'il devait encore s'étonner de l'ignorance d'Akio ou en rire.

"Mais non Akio-sama, il y a un ascenseur et des escaliers dedans."

"Oh........D'accord....hum hum"

Akio se senti rougir et embarrassé, elle avait compris qu'elle avait dit une bêtise. Mais elle oublia bien vite sa gène, intéressé par le mot "ascenseur".

"Oh oui, ces boites qui montent et descendent, dans lesquels on est monté la dernière fois?"

"Oui, Akio-sama. Cela même."

"Dans ce cas dépêchons-nous, j'aime bien ces trucs, c'est amusant."

La déesse marcha d'un pas rapide, tandis que le domestique ne put s'empêcher de sourire. Elle était pressé, comme les gosses, de remonter dedans.
Elle s'arrêta bien vite, regardant à gauche et à droite, avant de se tourner vers le domestique.

"Euh.....C'est par où?"

Le domestique eut un bref sourire, avant de reprendre son sérieux. Puis, il s'avança vers Akio et la guida jusqu'à l'entrée.

"Par ici Akio-sama"

Invité

Pour une foie, chose au combien inouï, Zena était sortit de sa demeure de pierre pendant la journée. La pauvre déesse de la nuit souffrant d'une insomnie, elle avait décider d'aller se balader un peu, la journée durant. Les éclat du soleil l'aveuglait toujours autant et elle avait donc prit une ombrelle sombre pour se protéger de ces rayons désagréablement éblouissant. Malgré ce soleil qui illuminait, au grand damne de la déesse, cette journée, elle trouva Tokyo fort sympathique de jour. C'était vivant et agréable, mais elle préférait l'ambiance festive qui y régnait la nuit. ayant prit l'apparence d'une jeune femme d'une vingtaine d'années aux cheveux bruns, elle s'était amusée à se vêtir d'une simple robe couleur prune avec des chaussures noires vernies et de petites chaussettes jambières qui lui montait jusqu'aux genoux, strillée en violet et noir, cette dernière couleur rappelant son ombrette. Le tout était surplombé d'un long manteau [façon Matrix xD] noir qui lui tombait au niveau des chevilles.

Ayant déjà visitée pas mal de choses, la déesse nocturne jeta son dévolu sur la Tour de Tokyo. ayant la flemme de prendre un ascenseur, elle vérifia que personne n'était dans les parages et déploya ses ailes sombres, volant aussi rapidement que gracieusement jusqu'au sommet de la tour. Faisant disparaitre ses ailes d'un geste de la main et ré-ouvrant son ombrelle pour ne pas être exposé aux rayons du soleil, Zena se rendit compte qu'elle n'était pas aussi seule qu'elle le croyait. Une enfant suivit de se qui devait lui servir de domestique sortirent. Espérant qu'elle avait replier ses ailes sans que ses deux là ne l'ai vu, elle fit semblant d'admirer la vue, gardant cependant un œil sur la fille.

Invité

Akio et le domestique arrivèrent rapidement en haut de la Tour, grâce à l'ascenseur. Lorsqu'ils arrivèrent en haut, elle vit qu'ils n'étaient pas seuls. Elle crut même voir durant un court instant ce qu'il semblait être des aîles, mais elle pensa avoir rêvé.
Elle s'approcha du bord et essaya de regarder, mais elle était trop petite pour voir quoique se soit. Elle se mit sur la pointe des pieds, puis se mit à sautiller, mais rien n'y fait, elle ne voyait rien. Elle aurait bien utilisé ses pouvoir pour faire en sorte qu'un courant d'air la porte en hauteur, mais ils n'étaient pas seuls, elle ne pouvait donc pas courir le risque. Pas contente, elle se tourna vers le domestique.

"Je vois rien, soulève-moi!"

"Oui, tout de suite Akio-sama.

Le majordome la souleva afin qu'elle puisse voir.
La vue était époustouflante et plus beaucoup à la jeune déesse. Le domestique lui indiquait les différents quartiers qu'ils pouvaient voir de là où ils étaient, ainsi que les gros bâtiments facilement repérable et connus.
Elle aurait voulut continuer à regarder, mais le domestique fatiguait et n'arrivait plus à la porter. Il la reposa donc.
Akio regarda autour à la recherche de quelque chose pour qu'elle puisse être en hauteur, mais elle ne vit rien. Elle remarqua cependant que la femme était toujours là.
Elle l'observa plus en détaille et la trouvait bizarre. C'est l'hôpital qui se fout de la charité.
La femme portait une robe couleur prune, avec des chaussure noirs, des chaussettes hautes et un long manteau noir. Elle avait également une ombrelle dans les tons de la robe.
Elle semblait ne pas beaucoup aimer le soleil, sans pour autant le détester.
Akio resta ainsi à la fixer, son domestique gêné de l'attitude de la déesse, essaya de lui dire d'arrêter, que ce n'était pas polie de fixer les gens ainsi, mais elle n'écoutait. Elle continuait de regarder la jeune femme, elle l'intriguait trop. Elle lui semblait familière.

[désolé c'est court mais j'ai pas trop d'idées]