La solitude ne brisera pas le silence [PV Alaska]

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Teran regardait plus haut que le ciel où il était. Pourquoi ? Parce qu'il était couché sur le dos, en train de fainéantiser. Le lieu où il se trouvait était le meilleur de tous sans aucun doute, ça ne se nommait pas le Paradis si ? Ce lieu qui fait fantasmer les humains, sachant que tout le bonheur inimaginable s'y trouvait, contrairement à l'antithèse de ce lieu, l'Enfer, où rien ne bougeait, tout était sombre et où les pires créatures vivaient dans l'ombre, tapies. Ici tout resplendissait dans ce lieu inaccessible. On se demandait donc pourquoi les dieux y vivaient.

Comme il n'y avait pas grand-chose à faire, il passait son temps à ne rien faire, si ce n'était laisser le temps suivre son cours, imperturbable. Il se leva en poussant sur ses bras et se mit à parcourir le paysage des yeux. Tout semblait aller bien, mais n'était-ce pas l'illusion de quelque chose de terrible avançant et que nous subirons sans pouvoir l'éviter ?

"Il faut deviner le peintre pour comprendre l'image", Friedrich Nietzsche. Voilà une des réflexions propices à savoir que l'être qui régissait les évènements de maintenant devait être découvert pour pouvoir par la suite découvrir ses vraies intentions. Mais le dieu n'avait pas vraiment la volonté de démasquer le metteur en scène de tout cela, il voulait d'abord voir quelle tournure majeure prendraient les choses. En attendant, rien ne changeait.

Il marcha à travers tout ce paysage idyllique, marchant dans la direction opposée du soleil, lui donnant de face un peu sombre à cause du fait qu'il soit en contre-jour. Il avait l'habitude de rester solitaire dans ce monde, comme il aurait pu l'appeller. Il ne désirait parler à personne. A moins que cela changerait ?

[HRP C'est nul ^^'']

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[ HJ : Mais non ! C'est très bien ! ]

Je sortis du bain brulant qu'on venait de remplir pour moi. Jamais quelqu'un ne s'était occupé de moi comme ça. J'avoue que je trouvais ça agréablement bizarre. Une jeune fille me tendit une longue robe blanche que j'enfilai avec soin, histoire de ne pas l'abîmer, et j'attachai mes cheveux en l'air, laissant retomber quelques mèches. Je ne m'habillai plus comme sur la terre, je prenais enfin le temps de me faire belle. Mon coeur battit la chamade quand je me souvins qu'il y avait d'autres gens comme moi ici. Je ne serai plus jamais seule. Enfin j'avais le droit d'être heureuse. Je remerciai les dames qui s'étaient occupées de moi. Elles m'avaient même dit qu'elles le referaient puisqu'elles travaillaient pour moi. Mais je n'avais jamais demandé d'esclaves, moi !

D'un pas rapide je m'élançai sous le soleil couchant, excitée à l'idée de rencontrer quelqu'un. Le soleil était vraiment magnifique, le vent enivrant. C'est alors que je le vis, là, tournant le dos au soleil. Je plaquai mes mains devant ma bouche et des larmes roulèrent sur mes joues. Je savais qu'à ce moment là, sur terre, il pleuvait. Ce n'était pas un mensonge alors ? Il était vraiment réel ? Je courais vers lui et m'arrêtait à sa hauteur. J'essuyai mes larmes et avançai doucement ma main vers sa joue. Du bout des doigts, je l'effleurai. Oui, il existait. Je ne serai plus jamais seule. Si je ne l'avais pas été moi-même, je me serai agenouillée et j'aurai prié. Je levai les yeux vers le ciel, les joues à nouveau recouvertes de larmes, souriant tout de même.
Je ne savais pas quoi dire, tellement j'étais gênée de lui montrer un tel spectacle. J'osai enfin lui adresser la parole. Ma voix dite "sensuelle" par les garçons humains que j'avais rencontré sur terre se perdit dans le ciel sans fin. Je réussi à peine à bafouiller quelques mots.

- Je suis pitoyable, excuse moi ! Je suis tellement heureuse. Je ne suis pas seule.

Que fallait-il faire d'autre quand on rencontrait quelqu'un pour la première fois ? Se présenter peut-être. Mais, après tout, peut être qu'il se fichait totalement de moi. Je pris mon courage à deux mains, et les poingts serrés je parlai de nouveau.

- Moi, c'est Alaska, déesse du Temps ! Et toi ?

De nouveau ma voix se perdit dans le lointain. Tout semblait si magique, je ne pouvais toujours pas y croire. A un moment ou un autre, je devrais redescendre sur Terre et me battre d'un côté ou de l'autre. Le bien, le mal ? Tel était la question que je devait me poser maintenant. Quoi qu'l en soit, je savais que je me battrais à ses côtés, parce qu'à ce moment il n'y avait plus que lui à mes yeux. Je ne pouvais pas dire que j'étais amoureuse, mais c'était un sentiment étrange.

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Tandis que les rayons ardents de l’astre céleste dardaient dans son dos, il continuait à réfléchir sur le metteur en scène comme il l’avait désigné. Ses cogitations allaient bon train jusqu’à ce que il fut interrompu par quelque chose qui attirait son attention au loin. En y regardant un peu plus près ce n’était pas quelque chose mais bien quelqu’un, et une femme d’après sa silhouette gracieuse. Il ne pouvait la distinguer correctement car les rayons que réfléchissait le blanc de sa tenue l’empêchaient par leur lumière agressive de voir plus précisément que cela. Mais il était sûr qu’il s’agissait d’une femme. Il m’attendait à voir des âmes et d’autres personnages du même ressort mais cette femme ne semblait pas comme les autres habitants du royaume au-dessus des nuages. Il ne voulait parler à personne mais au fond de lui il subsistait une certaine envie de savoir qui c’était.

Il n’avait pas le temps de faire ne serait-ce qu’un seul minuscule pas que la silhouette s’était décidée sans doute à aller à sa rencontre. Etait-ce donc bien lui qu’elle regardait ainsi longuement ? Exactement car elle ne semblait avoir ses yeux rivés que sur lui et de toute manière Il était seul dans les environs, hormis la jeune femme qui se dirigeait avec une démarche aussi légère et rapide que le vent vers lui. Il ne bougeait pas d’un centimètre alors qu’au contraire, elle venait vers lui et s’arrêtait à sa hauteur. Silence pendant ce moment-là. Elle pleurait ? Mais pourquoi ? Il la regardait, ce n’était pas des larmes de tristesse mais on aurait dit des larmes de bonheur. Elle était heureuse donc. Sa main passant sur sa joue lui donna comme une impression bizarre au moment où elle n’avait qu’effleuré sa peau. Il se demandait à quoi elle jouait sur le coup.

Il écoutait sans afficher une expression sur son visage l’explication logique à tout cela. Elle pensait qu’elle était seule. D’où le fait qu’elle soit heureuse rien qu’en le voyant. Il n’avait pas le temps de surenchérir à ce qu’elle avait dit pour se présenter. Elle avait un très joli nom. De surcroît elle était une déesse. Et pas n’importe qu’elle déesse, celle du Temps. C’était donc elle qui effrayait ou rendait heureux les habitants du monde par ses orages ou son beau temps. Par politesse évidemment qui obligeait il se présenta également à son tour. Et puis elle l’avait demandé. Sa voix était chaleureuse, du moins c’est ce qu'il percevait.

- Je m’appelle Teran, dieu de la Terre.

Les présentations étaient maintenant faites. Il sentait qu’elle venait sans doute de s’habiller ou de se laver, ou peut-être les deux, il n’y avait pas si longtemps à l’air parfumé qu'il respirait. Donc comme ça elle n’avait encore rencontré aucun dieu pour l’instant à part lui. Son aura n’aurait pu que la rassurer vu qu'il n’était pas un parjure du Mal. Pour éviter de trop l’embarrasser, il prit un air un peu moins distant et je-m’en-foutiste.

- C’est un pouvoir fort intéressant que tu as là.

Et le mot était faible. C’est un pouvoir plus que nécessaire pour aider les humains à vivre. Que pouvaient-ils faire s’il ne pleuvait pas ou s’il ne faisait que pleuvoir ? Ben rien. De plus c’était une jolie jeune femme qui se tenait actuellement devant lui. Il attendait que celle-ci lui réponde. Quelque chose lui disait qu'ils s'entendraient bien.

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Alaska remarqua qu'il paraissait assez distant et froid à son égard. Certes, elle avait été gênante. A peine l'avait elle aperçue qu'elle l'avait touché, caressé plutôt. Elle rougit et regarda parterre, gênée. Puis elle releva la tête et le regarda dans les yeux, heureuse que sa voix soit plus chaleureuse que son attitude. Elle sourit et secoua la tête comme si elle dansait. Bizarrement elle se sentait bien en sa compagnie, même si ils ne se connaissaient pas. Alors elle répondit, après quelques minutes:

- Ravie de te rencontrer, Teran, Dieu de la Terre, dit elle en faisant une petite révérence.

<< Dieu de la Terre, c'est génial >> se dit-elle, plongée dans ses pensées. Quel pouvoir avait-il sur le monde, lui ? Que pouvait-il modifier, choisir ? Elle, pouvait choisir le temps, décider qu'ils soient heureux ou non, dégrader leur humeur ou au contraire l'améliorer. C'était un pouvoir fort utile, mais surtout dangereux. Et elle avait beaucoup de mal à le contrôler surtout, puisque son pouvoir venait de ses émotions. Et là, elle n'y pouvait rien. Il suffisait qu'elle pleure pour que sur Terre, il pleuve. Il suffisait qu'elle soit amoureuse et excitée pour que la température augmente fortement, il suffisait qu'elle soit indifférente pour que le ciel soit bleu, sans plus. Elle lui sourit de nouveau, quand il la fit sortir de ses pensées. Fort intéressant ? hum...

- Qui peut s'avérer plus que dangereux, continua t-elle. Il y a des années, j'ai détruit un village entier. C'est parti de mon sentiment de haine envers ce pervers qui m'a touché.

Ses paroles ressemblaient presque à une mise en garde, comme si elle cherchait à le tenir à distance. Elle baissa la tête. Elle ne voulait pas qu'il la laisse tomber alors qu'ils se rencontraient juste. Puis une question lui vint à l'esprit.

- Dieu de la Terre, que peux-tu faire ? Quelle incidence as-tu sur le monde .?

Elle se plaça à côté de lui, pour qu'il aille où il veuille. De toute façon elle le suivrait, où qu'il aille. Sauf bien sûr aux toilettes. Mais la salle de bain... Elle rougit et éclata de rire. Elle avait souvent ce genre de pensées, et rigolait toujours comme ça. Elle aimait être la seule à comprendre pourquoi elle faisait ça.

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En voyant la jeune fille devant lui, le dieu n’aurait jamais su dire qu’il y avait un tempérament destructeur caché en elle, qui ressortait quand elle était dans un état de détresse. Pourtant, la jeune fille qu’il voyait semblait douce et calme. Mais c’est comme ça chez les gens qui paraissent avoir un tempérament posé, il suffit d’une étincelle et ça explose d’un coup. Enfin, chacun sa personnalité, non ? Mais ce ton dans sa voix, un infime avertissement qui émanait de ses paroles fort étonnantes, cela ne lui avait pas échappé. Cherchait-elle à mettre des distances entre eux, alors qu’ils venaient seulement de se rencontrer ? Il ne lui ferait rien de mal pourtant, elle n’avait pas à s’en faire. Il fallait seulement qu’on s’en prenne à lui pour que lui-même se mette à devenir violent.

Une question sur ses pouvoirs. Hum, c’était assez évident la nature de son ou plutôt ses pouvoirs. Mais il était vrai que le mot était assez vaste. Ses pouvoirs se basaient essentiellement sur…l’élément terrestre. Sa fonction première était de protéger les humains d’en bas. Tout dieu devait avoir cette priorité-là en tête de « liste ». Cependant il était certes évident que les séismes étaient principalement déclenchés par lui. Mais ça dépendait de son humeur. Donc l’échelle de Richter permettait en quelque sorte de pouvoir situer le degré de son humeur facilement. Mais il avait fourni depuis pas mal de temps les matériaux nécessaires aux humains pour pouvoir faire progresser le monde à son état où il en est actuellement.

- Mon élément est la terre. Les tremblements de terre sont commandités par mon humeur. J’ai également permis aux humains de bâtir des villes en leur fournissant les matériaux possibles. Mais je peux les utiliser selon mon bon vouloir également.

Le silence se fit et sa voix se perdait facilement dans l’éther autour d’eux. Il balayait le paysage de ses yeux de la même couleur que les océans.

- Marchons un peu.

Il fit un premier pas et commença à marcher sur ce qui était sensé être un sol. On voyait la différence ici que sur Terre. Aucune pollution et il faisait plus bon vivre que dans le monde des humains. On se demandait donc pourquoi il était tellement envié et dont on disait que c’était le Paradis. S’ils savaient, ils n’en reviendraient pas de voir un tel décor que celui qui s’affichait face aux yeux du dieu. Il la regarda un instant en s’arrêtant. Elle s’était mise à rire toute seule, et surtout pour un rien. Il ne dit rien pendant le temps où l’allégresse allait bon train chez Alaska. Elle avait une personnalité fort diversifiée. Elle mettait sa culpabilité avec ce qui était arrivé à ce village. Enfin, il s’était permis de dire que ce devait être de la culpabilité. Lui, ça ne lui aurait rien fait. Quand on sévit, il a toujours une raison. Il attendit qu’elle se calme, restant planté à cet endroit-là, et faisant preuve d’un mutisme parfait.

- Avais-tu une autre fonction avant d’être déesse du temps ?

Lui, oui, il avait eu une autre fonction avant de devenir un dieu majeur de la Terre. C’était d’ailleurs grâce à cette fonction qu’il veillait sur les humains. Ce moment-là restait gravé dans sa mémoire et il ne partirait pas de là de sitôt. Le jour de la défaite de l’être qu’il haïssait plus que tout et qu’il continue à haïr. Peut-être aurait-il du s’en débarrasser plus tôt. Mais il ne pouvait revenir, où alors, il fallait qu’un miracle, ou plutôt un antimiracle, le fasse revenir au sommet de sa puissance. Mais ça n’arriverait jamais, pas tant qu’il serait là.

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[ Désolée de te répondre 2 mois après T__T ]

Alaska le suivit silencieusement, réfléchissant à leurs pouvoirs respectifs. Finalement, tous deux se ressemblaient plus qu'elle ne le croyait. Après tout, leur capacité était presque la même, sauf que la sienne se limitait à la Terre. Elle, Alaska Alehandra, pouvait tout contrôler. Il suffisait qu'elle pleure, et c'était l'inondation. Elle pleurait trop ? Et il fallait une arche de Noé. La jeune fille ferma les yeux et avança silencieusement, aux côtés de l'autre Dieu. Leurs pas silencieux, leur souffle doux et régulier. C'était assez étrange et agréable d'être en compagnie de quelqu'un, enfin, après des millénaires de solitude. Est-ce qu'elle aurait fini comme tout ces fous, qui parlent tout seuls dans la rue, tête baissée dans le cas contraire ? Certainement, ce n'était pas parce qu'elle était une déesse qu'elle échappait à la règle. Alaska rouvrit les yeux, et contempla les alentours, magnifiques, irréels. Tout semblait magique, voir faux. Comme si on l'avait introduite dans un jeu vidéo, crée de toute pièce. La demoiselle passa une main dans ses cheveux et soupira, réfléchissant à la réponse qu'elle allait lui donner. Avait-elle eu une autre vie, avant de se réveiller déesse ? Le problème, c'est qu'elle ne s'en souvenait pas le moins du monde. Avec un regard triste, Alaska répondit d'une voix douce :

- Je ne sais pas, je me suis réveillée déesse il y a 3000 ans de cela. Peut être qu'avant, j'étais une autre personne. Je ne m'en souviens pas. Et toi ?

C'est vrai, comment était-elle née ? Avait-elle été crée comme un personnage de jeu vidéo ? Finalement, le protagoniste était retourné dans son environnement. La jeune fille laissa échapper un petit gloussement nerveux, qu'elle tenta de masquer en une sorte de toux. Elle s'était juré de ne pas montrer de faiblesse, au moment où il fallait être forte. Alaska devrait faire face à tous ses problèmes en silence, pour n'embêter personne. Après tout, elle n'avait pas été crée pour se plaindre, mais que les gens se plaignent à elle, non ? Serrant les poings, la jeune fille s'arrêta , et ses joues rosirent légèrement. Alaska avait envie de pleurer, mais elle devait se retenir, sinon ce serait trop grave. Quand elle était dans cet état, elle pouvait pleurer des jours entiers, sans trêve. La Terre recevrait une punition trop grande, alors que pour l'instant, elle n'avait rien fait. Rien fait ? Si, elle rendait Alaska malheureuse. A cause d'elle, la jeune fille n'avait pas le droit au bonheur, elle ne pouvait pas témoigner d'émotions, elle ne pouvait pas être amoureuse ou encore en colère. Pouvait-on dire que c'était une vie ? Maintenant, Alaska en doutait. Au début, la déesse s'en était accommodée. Lentement, elle reprit la route, traînant des pieds et faisant des vagues. Si elle arrivait à contrôler la violence de sa tristesse, ça irait. Les larmes coulaient silencieusement sur ses joues, et elle les essuyait au fur et à mesure. Pour ne pas qu'il pense qu'elle était complètement dépressive, elle expliqua d'une voix douce, pleine de trémolos :

- Excuse-moi de pleurer comme ça, c'est juste que... Ça fait tellement longtemps que je n'ai pas été en compagnie e quelqu'un qui ne me rejette pas... Je suis heureuse, enfin.

Alaska éclata de rire, le visage et la vue embués de larmes, et s'élança, bien devant Teran, pour pleurer librement, son expression passant de la tristesse au bonheur, pour redevenir tristesse. Sur Terre, elle était certaine qu'il y avait un grand, très grand arc-en-ciel, quelque part. Forcément, puisqu'elle pleurait et qu'elle rigolait. Finalement, plongée dans ses pensées, elle trébucha sur une racine et s'écroula visage contre terre. Couchée à plat ventre, elle éclata encore de rire, et se mit à genoux. Sa robe blanche était ruinée, tant pis.