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 ~ { Frédérique Van Envrio. }

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~ { Frédérique Van Envrio. } Vide
MessageSujet: ~ { Frédérique Van Envrio. }   ~ { Frédérique Van Envrio. } Icon_minitimeDim 26 Avr - 11:59

~ { Frédérique Van Envrio. } Vampire11


  • IDENTITE

      Nom : Van Envrio. [ Prononciation -> Van N-vrio ]
      Prénom : Frédérique.
      Sexe : Masculin mais Androgyne.
      Âge : Né en 512 après J.C, au début du Moyen Âge. [ 1497 ans, donc. ]
      Nationalité : Gaulois. [ La Gaule devenant rapidement la Francis, puis la France. ]
      Orientation Sexuelle : Bisexuel.
      Race & Groupe : Vampire.
      Âme : Grey.


  • BIOGRAPHIE

    Spoiler:

      Psycologique

      Frédérique est un personnage extrêmement complexe. Peut être son grand âge y est pour quelque chose d’ailleurs. Il a bientôt 1 500 ans tout de même ! Et dans la famille Van Envrio, dont il est le chef de clan d’ailleurs, il est l’un des plus âgés. Il existe encore quelque oncles et tantes, cependant, beaucoup on été assassiné par sa personne, ceux-ci voulant en majorité reprendre le commandement de la famille à la place du vampire, ne le considérant pas comme digne d’être le successeur de Cain Van Envrio. Ainsi, c’est le « vieil homme », comme l’appel parfois les siens. Qui dit vieux, dit sage. C’est vrai, Frédérique est intelligent et sait des millions de choses. Il a vécut, il a apprit, souvent en faisant des erreurs, parfois en faisant des expériences. C’est la sagesse, la tête pensante du clan. Le dumbledore des Van Envrio. [ Comparaison bidon qui m’est venu comme ça. XD ] Cependant, il ne le montre absolument pas ! Ou très rarement. Beaucoup s’imagine que c’est un véritable abruti, un taré qu’il faudrait enfermer ! Et non, je n’exagère pas, et c’est certainement ce qui pousse certain de la famille à vouloir se rebeller contre ce personnage. Lorsqu’il est sérieux, il a beaucoup de charisme, une véritable aura de chef, il faut bien l’avouer. Il a de l’assurance, et une façon de dire les choses très directe. Malgré ses atouts, Frédérique est plutôt en mode fou-fou la plupart du temps. Toujours souriant, on se demande si il lui arrive d’être triste. Parfois oui, mais jamais devant les autres. Non, il a toujours son sourire banane (*_*) avec les siens, et même avec les autres. Il aime charrier, taquiner, embêter et faire des bêtises ! L’éternité, c’est long, alors il s’occupe comme il peut. Ainsi, il lui arrivera souvent de faire des croches pattes, de lancer des sceaux d’eaux sur des personnes endormit, de remplacer le sel par du sucre et inversement. Oui, c’est une véritable peste cet homme et il aime ça. ♥️ Il n’a aucune gène, pas d’honte, et pourra faire tout et n’importe quoi sans aucun remord ! Totalement dingue et imprévisible, on ne s’ennuie jamais avec lui. Mais évidement, lorsqu’on devient sa cible, là, on rigole un peu moins. Surtout quand il s’approche de vous en ricanant diaboliquement. Si ça arrive, partez en courant avant qu’il soit trop tard! Il a d’ailleurs souvent des idées tordus. Pas que pour ses farces, mais en générale. Il a une façon propre à lui de voir les choses, sûrement bizarres et qui parait illogique, mais pour lui, cela semble normal. Au fond, il a vraiment perdu la tête, peut être même depuis des années. A moins que cela ne soit qu’une vulgaire comédie, qui peut réellement savoir. Mis à part cela, il a plusieurs tics. [ Déjà abordé dans l’histoire, mais je le re-dis. ] Ceux-ci sont plus ou moins flippant. Le premier, est cette obsession pour la nourriture humaine, la boisson aussi. Il est très rare de ne pas le voir avec quelques choses à grignoter sous la main. Et si vous mangez un truc devant lui, il ne serra pas tranquille avant de vous l’avoir prit et dévorer. Cela est d’ailleurs très déconcentrant pour Frédérique. Il peut très bien vous parlez d’une chose hyper sérieuse et vous lancez entre deux phrases dramatiques un :  « Bon on chiale un peu, on désespère et on va se faire des crêpes. J‘ai trop la dalle. » L’homme ne sait pas vraiment pourquoi son estomac réagit ainsi, au fond, les vampires n’ont besoin de que sang non? Alors pourquoi lui doit manger des quantités hallucinantes ? Évidement, sa soif de sang est égale à son besoin d’ingurgiter de la nourriture, il est terrifiant. Passez une journée avec lui et vous ne verrez plus jamais les aliments, et le sang de la même façon, et lui non plus vous ne le verrez plus de la même façon. Certainement que vous vous demanderez ou il peut bien mettre tout ça, vu sa silhouette fine. Après quelques études sur le sujet, Frédérique suppose tout de même que cela est dû à son pouvoir de télékinésie qui semble lui prendre énormément d’énergie. Avec cela, il a développé une autre obsession, celle de mordre. Bon, pour un vampire c’est normal, j’avoue, mais lui, comme pour la nourriture, c’est au dessus de la moyenne. Peut être parce qu’il passe la plupart de son temps à mâchouiller des trucs, il adore croquer tout et n’importe quoi. Ne vous étonnez donc pas si tout d’un coup il se met à grignoter une branche ou une ban dans la rue.. C’est plus fort que lui. Même si ce n’ai pas forcement pour boire le sang, il adore croquer. Il ferra alors, plus ou moins sans faire exprès, des trucs louches et on entendra parfois à la demeure des Van Envrio des « FREDERIQUE LACHE MA JAMBE ! » ou « BOUFFE PAS SE POT DE FLEUR ! » ou encore «  QUI A MACHOUILLER MES CHAUSSONS ?! FREDERIIIIIQUE !! » Oui, c’est grave quand même, mais c’est plus fort que lui, son cerveau doit dérailler de temps en temps. ( Même très souvent. ) Il est donc taré, gamin et psychopathe. Frédérique n’a plus aucunes limites car il est en paix avec ce qu’il est. Il est un être démoniaque, un tueur, et alors? Il dira souvent à ceux qui l’accuse de meurtre, qu’il est comme un chat qui a besoin de tuer la sourire pour vivre, lui c’est les hommes cela fait partie de la chaîne alimentaire en quelque sorte. Et après avoir tant vécut de chose, il ne préfère plus se tourmenter pour ses banalités de bien, pas bien. De toute façon, il s’est habitué à se qu’il est, aux coutumes des Van Envrio et à celle des vampires. Évidement, même si il a toujours l’air heureux, il lui arrive d’avoir des coups de déprime terrible en repensant à son passé. Mais cela arrive à tout le monde, n’est-ce pas? Bon, après c’est vrai que lorsqu’on est triste, on ne détruit pas forcement tout sur son passage, tape pas les gens qui nous entourent, et n’hurle pas pendant des heures comme un barge, mais Frédérique est un peu à part. Peut être un peu excessif, même si il lui arrive d’être d’un calme effrayant. Tient, en parlant d’effrayant, le vampire à hérité de quelques traits de son père, Cain. Bien qu’il n’est pas ainsi avec tous, il lui arrive d’avoir cette façon malsaine d’aimer. Il appelle toujours ceux qu’il aime par des surnoms à la con, ses enfants étant les premiers à avoir le droit à des mon bout de choux, mon petit cœur et vient faire un câlin à papa. Quand il le dit joueur en papa gâteau sympa, ça va, mais parfois il a cette façon malsaine, il n’y a pas d’autres mots, de les prononcer, ou de faire des gestes déplacés. Des sous entendus pervers, ou cruels, voir carrément morbides, dans des mots ou des gestes qui paraissent innocents. Et oui, Frédérique n’ai pas un gentil. Il est un vampire et dans sa famille, les mœurs sont à la cruauté et à la luxure. Les vices y sont très présents mêmes si on dissimule ça sous des preuves d’amours plus ou moins sincères. Ô oui, Frédérique aime les siens. Il les aime plus que tout, c’est sa jolie famille, sa si jolie famille. Il l’aime comme un père, comme un cousin, comme un frère, comme un grand père, comme un oncle, comme un bourreau , comme un amant… Il l’aime de toutes façons possibles et imaginables, que ce soit sain ou malsain, doux ou cruel, innocent ou pervers.


      Physique

      Spoiler:

      Quel personnage particulier, unique même. Tout chez lui semble originale et si on devait choisir un mot pour qualifier son allure générale, on dirais certainement : Élégance. Même si on aperçoit presque pas, voir jamais, ses yeux, la première chose qui nous interpelle dans son visage, est la douceur de ses traits. Androgyne, oui, il a bel et bien une apparence de femme. Des courbes délicates, une peau de porcelaine et sans imperfection. Des lèvres fines et sucrés, aussi douces qu’une pétale de rose. Un petit nez bien dessiné au milieu de deux joues formées à la perfection. De fins sourcilles apparaissant parfois pour marquer ses émotions. Et ses lunettes étranges qui le rendent si mystérieux et qui dissimulent ses prunelles malicieuses. D’ailleurs se masque sombre semble avoir était brisé et recousu de façon très étrange puisqu’on aperçoit sur elle, les marques d’un raccommodage. Évidement, étant vampire, on aperçoit des canines de taille assez impressionnantes entre ses lèvres, le rendant intriguant, parfois effrayant, il faut bien l’avouer. A cela s’ajoute ses petites oreilles pointus ou pendent des bijoux, petites boucles mignonnes. Celles-ci s’échappant d’un chevelure des plus travaillée d’ailleurs. De long, très très long cheveux à la couleur encre de chine. Ceux-ci lui tombent d’ailleurs entre les genoux et les chevilles. Oui, c’est à se demander si il se les coupes seulement une fois tout les cinquante ans. D’ailleurs sa coupe est des plus particulières, parlant en. Une magnifique mèche lui tombe sur le côté droit du visage. Bien ordonné, elle encadre sa bouille d’ange. De l’autres côté, on aperçoit que sa chevelure ébène est tressée en arrière, à même son crâne, avant de glisser en de longues tresses qui accompagnent le reste de sa masse capillaire. Oui, c’est une coiffure des plus étranges, mais Frédérique en prend très grand soin. Passant des heures à se coiffer et à laver ses mèches sombres, ceux-ci sont d’une douceur incomparable. Et comme sa peau de nacre, leur odeur est enivrante.
      Parlons ensuite de son corps. De taille moyenne, il mesure prêt de 1 m75 pour un poids des plus normal. Sa silhouette est fine, élégante. Ses muscles ne sont pas très apparents, cependant, son corps est aussi bien sculpté que celui d’un félin. Ces amants aime à caresser son corps, sa chair étant enivrante par sa délicatesse et son parfum. Et oui, les vampires sont connut pour être les meilleurs amants du monde, il fallait bien ça. ♥️ Niveau vestimentaire, il a cependant des goûts…. Plus vraiment d’actualité, c’est vrai. Cependant, il a du charme dans ses habits de l’ancien temps. Généralement, il porte un col qui remonte autour de son cou. Celui-ci faisant souvent partie d’un haut qui se cache sous un veston ou carrément sous une grande veste qu’il pose au dessus de ses épaules. Il aime à encercler sa gorge d’un foulard, une cravate ou des tissus en dentelle noir. Oui, La plupart du temps, il porte du noir, mêlé quelques fois à des touches blanches, argents ou ors. De plus sur ses épaules, on voit presque toujours, des plumes sombres. Étrange, je l’avoue, mais n’a-t-il pas le classe ainsi? En dessous de ses longs hauts ou vestons, il porte généralement un pantalon bien taillé, droit, et des chaussures nobles, mais souvent très imposantes. Les semelles compensés, il apprécie, cela le rend plus grand. XD Enfin finissons par ses mains. Il a de longs ongles, semblables à des griffes, qu’il peint de noir. Ses doigts sont fins et élégants, comme le serrait ceux d’un pianiste et dans sa grande coquetterie, il y pose souvent des bagues très anciennes.
      Le vampire possède un charme incontestable. Son aura est envoûtante, mystérieuse et attirante. On se retrouva souvent fasciné par cette créature de la nuit qui vous ensorcelle de sa simple présence. Son allure est noble, sa stature, droite et sûr. Il est beau, ô oui, qu’il est beau.


    Spoiler:

      POUVOIRS & ARMES

      Celle de se régénérer en buvant le sang d’autrui, celle de se transformer en chauve sourie. Etant mort, il n’a pas besoin de respirer et ne peut mourir qu’à certaines conditions. ( On les connaît tous. ) Une force et une rapidité surhumaine, une résistance accrue, des réflexes surnaturels, des sens décuplés (Peut voir dans le noir, entendre le cœur des humains battre, sentir l’odeur du sang à des kilomètres.), télépathie avec les chauves souris, hypnose ( Il l’utilise rarement car il doit enlever ses lunettes. Il ne peut contrôler que les gens ayant une puissance inférieur à la sienne et pendant une duré limité. ), capacités de lire dans les pensées. Puissante télékinésie, lui permettant de soulever des objets très lourds et immenses, de même que sa propre personne. ( Il peux voler sans être en chauve souris donc.)


      RELATIONS

      La famille Van Envrio !


    Spoiler:

  • VOUS

      Codes : CODE OKAY BY INCO'.
      Prénom /Surnom : Cendre.
      Âge : 19 ans.
      Pays et/ou Département : France. (68)
      Présence sur le Forum : MOUHAHAHAHAHA. ~
      Comment avez vous découvert le Forum ? Double Compte du Fondateur.
      Comment trouvez-vous le Forum ? //


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Dernière édition par Frédérique Van Envrio le Sam 16 Mai - 14:14, édité 10 fois
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~ { Frédérique Van Envrio. } Vide
MessageSujet: Re: ~ { Frédérique Van Envrio. }   ~ { Frédérique Van Envrio. } Icon_minitimeDim 26 Avr - 20:32

Spoiler:

  • BIOGRAPHIE

      VOTRE LEGENDE

      CHAPITRE I : NAISSANCE ET VIE D’UN SIMPLE HUMAIN.

      Il était une fois le Moyen Âge. Période de légende ou les grands seigneurs abattaient les puissants dragons et délivraient les belles princesses. Enfin, cela faisait partie des histoires fantastiques qu’on racontait au coin du feu, dans les pauvres maisons des pauvres paysans. Ceux-ci voyaient en ses légendes, un peu de réconfort après une dure journée à travailler aux champs. Des contes magiques, parfois effrayants, qu’on écoutaient d’une oreille attentive pendant que les femmes préparaient le maigre repas du soir. A cette période, peut être un peu naïvement, beaucoup des illettrés qu’étaient les gueux, croyaient en ses légendes qui parlaient de sauveur, de monstre, de vampire… Pouvaient-on leurs en vouloir ? Il n’avait pas l’esprit pour comprendre les choses qui les entouraient. Ils ne faisaient que travailler, de leurs naissances à leurs morts, espérant, priant pour que celle-ci ai lieu le plus tard possible. Triste ironie de notre histoire.

      Attardons nous sur l’une de ses nombreuses familles fermières. Les Dimeno’s. Ils vivaient dans une maison de terre et de pierre au pied d’une immense montagne forestière. Dans le village, ils étaient respectés pour leurs forces aux champs, leurs déterminations à travailler, à survivre malgré les épreuves de leurs simples vies. Dans cette petite demeure au sol de terre, vivait d’ailleurs un bon nombre des leurs. La grand-mère, le grand père, l’oncle, la mère, le père, et leurs cinq enfants. Oui, cela faisait beaucoup de bouche à nourrir cependant ils avaient des mains utiles pour le travail des champs qui était à l’époque, très importantes, le sol étant dure à exploité. A cela fallait ajouter le fait que les plus jeunes n’arrivaient que rarement à l’âge adulte, la vie étant trop dure pour eux, les soins trop faibles. Ainsi, lorsque le sixième enfant vînt au monde, beaucoup eurent des doutes sur sa survit. Il était frêle malgré son sexe. Car oui, s’était un garçon et son nom fut Frédérique. Frédérique Dimeno. La mère était fière du nom qu’elle avait trouvé à son dernier. Un prince, il avait le prénom d’un prince. Elle espérait ainsi lui apporter la chance et la richesse pour son avenir. Si elle avait sut, à cette époque, que ce nom serrait synonyme de mort, peut être ne se serrait-elle pas autant réjouit. Cependant, malgré les premiers dires de la famille, Frédérique grandit sans trop de problème. S’était un enfant sage, obéissant, qui travaillait durement pour les siens. Un modèle pour tous. Parfois un peu gamin, il fallait bien l’avouer, mais personne lui reprochait sa joie de vivre, au contraire, on était toujours heureux de le voir sourire. La vie était suffisamment difficile pour qu’en plus on tire la tronche, non ? C’est-ce que disait les membres de la famille Dimeno en tout cas.

      Puis il y eut ce jour, à sa septième année. Il parcourait les bois à la recherche de fruit en compagnie de ses frère et sœurs. Accroché à son panier d’osier, fait par sa grand-mère, il fouillait les buissons, les yeux scintillants, espérant trouver un met délicieux. Des fruits rouges par exemple ! Que leurs goûts étaient doux comparé au repas habituel. Le pain sec et la soupe, enfin, l’eau saveur soupe, se n’était pas des plus plaisant pour son palais même si il ne chipotait pas sur ses repas, bien content d’avoir quelques choses à se mettre sous la dent. Mais il espérait, courant de droite à gauche, et finalement, il crut se perdre dans les buissons, ne reconnaissant plus les alentours. Ses aînés et cadets, car il avait déjà des cadets, avaient disparut. Il tourna, tourna jusqu’au moment ou il entendit des voix au loin. Se disant vaguement que s’était peut être des personnes de son sang, il se rapprocha, mais les gens qu’il aperçut était loin d’être des siens. Des yeux rouges se posèrent sur lui. Deux grandes statures, deux nobles silhouettes, deux effrayants visages. Ils l’eurent remarqués très rapidement et déjà l’un deux s’approcha, amusé, en glissant sa langue sur ses lèvres. Frédérique, trop naïf, ne comprit pas se geste. Cependant, il savait que si il ne partait pas en courant tout de suite, il y perdrait la vie. Malheureusement pour lui, la peur était trop grande et ses jambes refusèrent d’obéir. Alors… Il resta là, droit, tremblant, lorsque soudain, le compagnon de cet étrange homme le stoppa dans son élan. Il y eut quelques mots énervés, mais de toute évidence, le second avait plus d’autorité que le premier. Ainsi, l’autre finit par grommeler des choses dans sa barbe avant de quitter le lieu, laissant l’enfant seul avec son voisin. Celui-ci s’approcha alors à son tour du gamin, mais de toute évidence, ses intentions étaient autres. Pas meilleurs, mais autres. Ne sachant quoi faire devant ce personnage mystérieux, Frédérique tomba sur les fesses, son panier quittant ses mains, et il le fixa, muet. Celui-ci s’agenouilla alors devant lui, et glissa une main maternelle sur sa joue de petit garçon, cherchant peut être à le rassurer. Mais ses yeux n’étaient pas humain, ses dents, démoniaques. Sa chevelure était blanche, si longue, si pure. Dans cet être, ces cheveux étaient certainement la seule chose qui dégageait un peu d’innocence. Pourtant, il ne lui dit aucun mot méchant. Il était doux, lui demandant vaguement ce qu’il faisait là. Frédérique bégaya sa raison, nourrir sa famille. Étrangement l’homme fut très réceptif à ce mot :Famille. De toute évidence, il y attachait autant d’importance que le garçonnet et c’est en glissant sa main de sa joue à ses cheveux, qu’il lui annonça le trouver mignon, si mignon… S’était malsain, mais il était trop jeune pour se rendre compte de cela. Tout ce qu’il sentit à cet instant là, était cette intrigante aura qui se dégageait de cet inconnu. Mais malgré cette angoisse, cette sensation, il commença à se demander si celui-ci n’était pas un « sauveur », comme on en rencontre dans les histoires. Il avait l’allure, la noblesse, la beauté et ses paroles semblaient ensorceler. Il lui demanda son nom, il répondit. Frédérique Dimeno. Encore une fois, à la grande surprise du petit, l’homme une réaction des plus inattendus. Il lui annonça qu’il n’aimait pas son nom et qu’il préférait l’appeler Timothée. Bizarre n’est-ce pas? Il décida que Frédérique serrait appelé Timothée, presque joyeusement, en lui caressant de plus belle ses cheveux sombres, s’approchant encore un peu plus de son corps. Déstabilisé, le petit demanda d’une voix timide et maladroite, le nom de se seigneur. Déduisant avoir à faire à un seigneur à cause de ses vêtements riches, évidement. L’homme rigola, amusé du grade qu’on lui donna et répondit d’une voix toujours enjôleuse : Cain Van Envrio. Cain Van Envrio… Ce nom restera à jamais marqué dans ses mémoires.
      C’est alors que ses frères et sœurs apparurent en sortant des buissons. Le plus grand resta de marbre en voyant l’homme qui se trouvait proche de son cadet, demandant rapidement à sa famille de rester derrière lui. Il avait comprit qui était se personnage et demanda, nerveux, à Frédérique de le rejoindre, qu’il fallait qu’il rentre à la maison. Le garçon voulut obéir mais il fut tiré contre le corps de l’homme à l’allure noble. La main qu’il avait posé dans ses cheveux avait suffit à l’attirer contre lui, Frédérique restait de marbre, plaqué contre la chair de cet être, retenu d’une unique main, puissante qui l’emprisonnait, douce qui le caressait toujours avec la même tendresse. L’aîné commençait à serrer les poings, ne sachant que faire pour reprendre le plus jeune, il demanda alors d’une voix polie à l’homme de relâcher son frère, que leur mère les attendait et qu’elle risquait de s’inquiéter. Frédérique lui, ne bougeait pas, comme subjugué par cette odeur particulière que dégageait Cain. Il sentait les fleurs, et ses habits étaient si beau, si doux. Lui, pauvre paysan, n’avait jamais vu et sentit cela. L’adulte ne réagit pas, comme défiant l’adolescent d’oser lui reprendre l’enfant. William, car s’était le nom de l’aîné, avala alors difficilement et fit un pat, déterminé à ramener avec lui Frédérique. C’est là, et seulement là, que l’étranger réagit. Il laissa l’enfant rependre un peu de place, quitter son torse et le força à lever les yeux vers lui, plongeant son regard, devenu de nacre, dans les prunelles enfantines du garçonnet. « On se reverra Timothée, je te le promet mon chéri. En attendant, sois sage. » Il déposa alors un baisé sur son front après avoir dégagé quelques mèches rebelles et finit par le lâcher. Frédérique, désorienté par tout ça, rejoignit son frère, maquant de tomber à plusieurs reprises. Finalement, ils s’en allèrent doucement, lorsque le jeune garçon se retournant pour voir ou était Cain, celui-ci lui faisait des signes de la main, comme un père aurait salué son fils. William lui demanda de plus se retourner.

      Arrivé à la maison, la discussion tapa fort. Frédérique avait beau dire que Cain ne lui avait rien fait de grave et qu’il était plutôt gentil, on lui ordonna de ne plus jamais se rapprocher de ce personnage, qu’il était… une monstre. Aujourd’hui, Frédérique est sûr que sa famille connaissait les origines de cet individu, mais à l’époque, personne n’osa prononcer ce nom, certainement par peur que les plus jeunes ne s’effraient. Mais peut être que si ils avaient osés dire ‘Vampire’, le jeune homme aurait mieux comprit la leçon et surtout, leurs craintes, et peut être… Leurs auraient-ils obéit.

      Car Cain réapparut, oui. Toujours avec ses gestes protecteurs pleins de sous entendus, sa gentillesse malsaine, ses caresses douteuses. Souvent dans les endroits les plus inattendus, souvent hors de la vue de tous. Frédérique lui avoua que ses parents et le reste de sa famille ne voulait pas qu’il lui parle, Cain lui dit alors simplement que se serrait leur petit secret. Un petit paysan qui fréquentait se qu’il croyait être un grand seigneur, il aimait cette idée. Il se sentait quelqu'un d’important, comme ci il vivait une fantastique aventure, qu‘il en était un des héros. Alors effectivement, il garda le secret, il était Timothée, le bout de choux de Cain Van Envrio. Et plus le temps passait et plus Frédérique disparaissait dans les bois. L’étrange personnage le prenant même sous son aile, lui enseignant les lettres, les sciences, l’histoire, les mathématiques, etc. Il changeait, et puis il y eut le jour ou ses parents décidèrent qu’il était temps pour lui de se marier. Il n’était pas réellement d’accord avec cela, et malgré une crise de colère plutôt effrayante de Cain, il dû prendre pour femme, une habitante du village. Isabelle, oui, elle était belle, si innocente, si naïve. Même si les débuts furent timides, Frédérique aimait sincèrement cette femme. Parce qu’elle était douce et maladroite, qu’elle aimait se blottir contre lui et qu’elle l’attendait toujours avec un sourire lorsqu’il rentrait des champs avec le reste de sa famille. Il voyait de moins en moins Cain et s’en portait pas plus mal à vrai dire, mais il sentait au fond de cet homme, une rancœur sans limite prendre place, on lui volait son Timothée, son chéri, son bébé. Il aurait du se méfier, mais il était si heureux avec sa jeune épouse. Et lorsqu’on vit le ventre de la demoiselle s’arrondir, et qu’on entendit les cris du première enfant d’Isabelle, notre jeune homme oublia totalement son vieil ami. Il n’avait d’yeux que pour sa famille et surtout son fils, Léandre. Il était si beau, si mignon, que Frédérique se transforma en véritable papa gâteau. Il le gâtait, remerciait jour après jour sa femme pour cette petite merveille qu’elle lui avait donné. Puis il y le second, une petite fille cette fois-ci, Marie, la toute petite. Le bonheur parfais, il vivait réellement le bonheur parfais, malgré la dureté du travail, il était heureux avec les siens, sa famille, sa si jolie famille.

      Spoiler:


Dernière édition par Frédérique Van Envrio le Ven 1 Mai - 0:38, édité 1 fois
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~ { Frédérique Van Envrio. } Vide
MessageSujet: Re: ~ { Frédérique Van Envrio. }   ~ { Frédérique Van Envrio. } Icon_minitimeJeu 30 Avr - 23:39

      Spoiler:

      CHAPITRE II : CŒUR BRISE.

      Tout aurait put continuer ainsi, pendant des années et des années. Mais les choses en furent autrement. Immuable destinée, cruelle destinée. Les choses se passèrent alors que Frédérique fut forcé de rejoindre Cain dans la forêt. Cela faisait des mois qu’il n’y avait pas été, mais la visite de l’étrange homme la nuit d’avant, l’avait décidé à aller lui parler. Il grandissait et comprenait de plus en plus qui était cet être. Non, il ne se doutait pas encore des gènes de vampire qui coulait dans ses veines, mais il ne pouvait plus accepter cet amour pervers et malsain que le vampire lui apportait. Il voulait être indépendant, il voulait l’oublier. Ou plutôt, il voulait que lui l’oublie. Il ne voulait pas que ses enfants soient aussi en proie à ces choses étranges. Peut être avait-il honte qu’on l’appelle mon chéri, surtout lorsque cela venait d’un homme tel que Cain. C’est pour cela qu’il prétexta partir pour le village d’à côté et qu’il rejoignit l’être démoniaque afin d’avoir une discussion avec lui. Les choses tournèrent cours, Cain n’était pas prêt à entendre les commentaires de son Timothée. Il ne l’écoutait pas, ne l’entendait même pas. Frédérique hurla, il n’était pas Timothée! Il n’était pas son petit amour ! Ni toutes ses conneries de surnom affectif débile ! Il voulait que cela cesse, mais Cain tentait toujours de le prendre contre lui, de l’amadouer par des caresses, lui demandant de ce calmer, de ne pas crier, lui disant qu’il l’aimait… Ce fut l’unique fois ou notre héros eut l’impression que cet homme était complètement débile, mais il comprendra bien rapidement son erreur. Car il était fou, c’est vrai, mais il était loin d’être idiot. Et après que Frédérique lui lança quelques verbes menaçants au visage, hurlant qu’il ne voulait plus jamais le revoir, et qu’il s’apprêta à repartir rejoindre sa famille, un dernier commentaire de Cain le laissa de marbre. : « On se reverra Timothée, je te le promet mon chéri. En attendant, sois sage. ♥️ » Un frisson d’effrois le traversa, le son de sa voix était terrifiante. Et cette phrase… Le jeune homme ne préféra pas se retourner, ignorant ses mots et repartie.

      Mais quand il arriva haut village, il eut la pire vision qui soit. Les maisons, toutes les maisons étaient en feu ! Des cries de terreur, de haine ! Des corps jonchaient le sol, le sang recouvrait les murs. Le cœur du jeune homme rata plusieurs battements, sa vision se troubla, son souffle s’interrompit. Et il hurla, hurla à plein poumon avant de courir chez lui. Il évita de justesse la lame de ses chevaliers pillards qui s’amusaient de la faiblesse des habitants. Mais il était déjà trop tard. Sa famille n’était plus, sa maison avait été vidé. Il n’avait plus rien, absolument plus rien…. Sa famille… Sa si jolie famille…. Il n’y avait plus que sang et corps inertes…. Et cet homme, ce grand seigneur à la lame couverte d’hémoglobine qui riait, content de son travail. Il avait fait le ménage. Ces mots glacèrent le sang de Frédérique. La suite, il ne s’en rappel plus très bien. La froideur du fer pénétrant sa chair, le goût de l’injustice mêlé à son propre sang, et les ténèbres.

      Spoiler:

      CHAPITRE III : RENAISSANCE.

      Il aurait du mourir. Il aurait voulut mourir pour rejoindre les siens. Mais il finit par rouvrir les yeux, difficilement. Une douleur à la poitrine, sentant encore la lame en sa chair et pourtant, elle y avait été retirée soigneusement. Sa plais avait été soigné, mais son coeur était déjà mort. Se rappelant le corps de siens sur le sol de sa maison, il fixa pendant de longue minute ce plafond inconnu sans chercher à savoir ou il était. La seule information, celle qui lui affirmait qu’il était en vie, lui suffisait et le torturait. Comment ces gens avaient-ils osés… Pourquoi… Pourquoi s’en prenait-on toujours aux plus faibles des provinces… Ils n’avaient fait que jouer… Jouer avec la vie… Leurs vies…
      La porte claqua, il ne l’entendit pas. Des pats se rapprochèrent, il n’y fit pas attention. Un être s’assit à son chevet, il l’ignora. Une main caressa son visage et une voix résonna. « Pauvre petit chéri. » Lui. Encore lui. Cain Van Envrio. Le poursuivrait-il jusqu’en enfer ? Certainement. Il en était capable. Il ne lui répondit pas, préférant rester fixé sur son plafond et sur ses pensés morbides. L’homme, ce vampire, se glissa alors contre lui, continuant à caresser son visage d’une main, cherchant à réconforter son bébé, toujours de cette façon malsaine. Ils restèrent ainsi des heures, peut être même des jours entiers jusqu’au moment ou Cain se décida à énoncer d’autres mots que ceux qui étaient sensé le réconforter et qui de toute évidence, ne l‘atteignaient pas. « Tu devrais te venger mon cœur. » La vengeance, comment pourrait-il se venger de nobles chevaliers ? Ils avaient la lois avec eux, et ils étaient plus forts, plus armés. Un paysan ne faisait pas le poids. Et encore moins un paysan blessé. Il lui expliqua d’un voix distraite, espérant qu’il le laisse enfin mourir en paix. Mais Cain ne comptait pas le laisser s’en tirer ainsi, il avait des plans. Il glissa un baisé dans le cou du jeune homme, s’enivrant de l’odeur de sa chair puis soudain… Frédérique put sentir des crocs pénétrer en son corps. Évidement, malgré la sensation de bien être procuré par ce geste, il s’extirpa violement, repoussant avec rage Cain. Il recula, se coinçant dans un coin du lit, tenant sa nuque sanglante d’une main, et observant, les yeux ronds, les lèvres couvertes de sang de son voisin. Il n’avait plus aucun doute à présent, plus aucun, et le vampire riait, gloussait, amusé de la situation. Le cœur du jeune homme s’accéléra, effrayé, sentant son corps meurtrie le déchirer et voyant le vampire se rapprocher. Il y eut des mots ; « Je vais te donner la possibilité de te venger, mon poussin. Et je ne te demanderais que deux choses en échange. Ton nom sera Timothée Van Envrio et tu m’appelleras… Papa. D‘accord, mon chéri?… » Ces phrases résonnèrent en Frédérique comme des soupires, des murmures douloureux et salvateurs. La haine reprit le déçut en apercevant ses crocs, en imaginant les supplices qu’il pourrait infliger à ceux qui avait osé tout lui prendre. Il allait le faire, pour sa si jolie famille. Ils seront venger et lui, maudit pour l’éternité. Cain glissa à son cou et l’humain ferma les yeux, un sourire tremblant de rage sur le visage, des larmes de désespoirs s‘échappant de ses prunelles closes. La douleur fut intense, exquise, une sensation nouvelle, délicieuse et si, cruelle. Il hurla, gémit même, plantant ses ongles dans la chair de celui qui allait devenir son père. Puis il sembla s’endormir, son vie quittant son corps. Il n’était bientôt plus. Mais avant qu’il ne quitte se monde, Cain déchira la chair de son poigné avec ses dents et glissa sa peau sanglante entre les lèvres du celui qui s’était appelé Frédérique. L’homme aux cheveux blancs lui demandant, lui ordonnant de boire à plusieurs reprises. Bois mon fils, bois. Ce fut d’abord amer et difficile, puis l’absorption devait de plus en plus facile, de plus en plus agréable. En lui, un nouvelle flamme venait de prendre place. Douloureuse, il sentit tout son être périr pour finalement renaître grâce au sang qui coulait dans sa gorge. Dans ses yeux, une lueur nouvelle s’installa, des crocs poussèrent, ses ongles prirent la forme de griffe, ses oreilles s’allongèrent, tout son être se modifia. Il n’était plus Frédérique Dimeno, et ne le serra jamais plus. Soudainement, reprenant de plus en plus de force, il planta ses dents nouvelles dans la chair que présentait toujours Cain. Son père savourait, s’essoufflait et finit par lui donner un violent coup au visage, le faisant lâcher sa main. Timothée le regarda d’abord surprit avant que celui-ci ne le traite de gourmand et qu’il ne lui dise de ce réserver pour sa vengeance.

      Celle ne tarda pas d’ailleurs, comme ci Cain avait prévu cela depuis le début, il lui indiqua facilement ou se trouvait le groupe qui avait commit le massacre dont son village. Comme vous pouvez vous en douter, les horreurs qui arrivèrent cette nuit là sont parfaitement indescriptibles. Mais pouvait-on blâmer ceux qui avaient tués de sang froid des familles entières? Ils lui avaient prit ses parents, ses frères et sœurs, son Isabelle, son petit Léandre et sa Marie. Ils périrent dans les pires souffrances qui soit. Et jamais il ne regrettera la boucherie de cette soirée.

      Spoiler:

      CHAPITRE IV : FAMILLE VAN ENVRIO.

      Après cela, Timothée disparut et erra pendant plusieurs dizaines d’années ici et là, n’ayant plus réellement de but. Il apprit à maîtriser ses capacités, mais bien souvent, il se laissait affaiblir, refusant de boire le sang d’innocent jusqu’ou moment ou il craquait, s’en suivait ensuite de long et terrible jour de déprime, de haine envers se qu’il était. Il avait crut que la vengeance l’apaiserait, mais elle ne lui rendit pas ceux qu’il aimait. Non, il se condamna simplement à une éternité de souffrance. Si seulement il y avait songé avant. Si seulement il s’était laissé mourir. Il aurait été tellement plus heureux. Mais à présent il était trop tard, et chaque jour sur cette terre n’était qu’une journée de torture en plus. Il tenta d’en finir, une fois, en restant au soleil, mais c’est là qu’il découvrit que si ses yeux ne voyaient pas la lumière, il pouvait circuler sous la lueur du grand jour. Sur le coup, il en oublia ses envies de suicide et se confectionna des lunettes étranges qui permettaient à ses yeux de ne jamais croiser les rayons solaires. Il retrouva alors un peu le goût de vivre en se promenant aisément parmi les humains. Mais cette soif de sang était intarissable. Et il mangeait, mangeait tellement. S’était plus fort que lui, il avait besoin des aliments humains et avalait tout se qui lui passait sous la main. Peut être est-ce cela qu’on finit par appeler boulimie ? Remplir un vide intérieur par de la nourriture. A moins que ce ne soit parce qu’il se privait de sang, qu’il avait besoin de combler ce manque d’énergie par autre chose. Évidement ça n’avait pas les même effets et il se retrouvait toujours les lèvres couvertes d’hémoglobines.

      Puis il y eut se jour ou lui, Cain, le retrouva. Il n’avait pas changé d’un poil, toujours le même, toujours à l’appeler bébé, toujours à le prendre contre lui de cette façon désagréable. Il l’appelait Papa, comme il avait été convenu, mais à cet rencontre, il ne le concéderait absolument pas comme son père. Mais Timothée n’avait plus rien, même plus la force de mettre fin à ses jours, se disant vaguement que se serrait une insulte à sa famille qui elle, morte, aurait aimée vivre. Ne pouvoir mourir mais ne plus souhaiter vivre. Que pouvait-il faire alors ? Il suivit son père, las, et découvrit, à sa grande surprise, le clan Van Envrio dont il faisait maintenant partie. Cain l’appelait sa famille, leur famille. Et le jeune vampire comprit alors beaucoup de chose sur cet homme. Son obsession pour les membres de son clan, son envie de les protéger, de les aimer encore et toujours. Il lui avoua même que c’est au moment ou Frédérique, lorsqu’il s’appelait encore ainsi, lui parla de la sienne qu’il tomba sous le charme du garçon. Cependant, cette famille là n’avait rien de normal. Il n’y avait quasiment aucun réel lien de sang, pour eux, un enfant n’était pas un bébé qui était née de l’amour d’une mère et d’un père, non, un enfant était un humain transformé en vampire par son père vampire, ou sa mère vampire. Un parent n’était que celui qui donna sa deuxième vie à l’humain. Ainsi, c’est au nouveau père, ou à la nouvelle mère de choisir un nouveau prénom pour son enfant, celui prenant avec lui, de façon automatique, le nom de Van Envrio. Cain avait donc décidé que Frédérique serrait l’un de ses fils dès le moment ou il décida qu’il s’appellerait Timothée. Dès le premier jour, il savait que le jeune homme serrait un des leurs, son fils, son bébé. Cain était d’ailleurs le chef du clan, celui qui décidait, celui qui aimait le plus. C’est vrai, cette famille ressemblait plus à une secte qu’autre chose, mais au fil des années, des siècles, Timothée s‘intégra, puis finalement, il reprit goût à vivre, aimant les membres du clan Van Envrio autant que son père les aimait. Certes, les relations qu’on entretenaient dans cette famille était compliquées, louches, malsaines même, mais quand on ne possède plus rien, l’amour de ceux qui vous considèrent comme étant des leurs, vous apaise. Il avait des frères, des sœurs, des tantes, des oncles, des cousins, des cousines, des petits cousins, des petites cousines [….] Timothée était heureux d’avoir retrouvé une famille, une si jolie famille…

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Dernière édition par Frédérique Van Envrio le Ven 1 Mai - 15:41, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: ~ { Frédérique Van Envrio. }   ~ { Frédérique Van Envrio. } Icon_minitimeVen 1 Mai - 1:59

      Spoiler:

      CHAPITRE V : UN SECOND AMOUR.

      Plus le temps passait et plus le vampire s’habituait à ce qu’il était. Finalement, s’était pas si mal, et si il était devenu un être maléfique, se n’était pas sans raison, alors à quoi bon se tourmenter ? Il n’avait plus le cœur à se faire des reproches et évoluaient tranquillement, tuant, buvant le sang d’innocent sans regret. Il était un vampire, il le devait, s’était ça ou la mort. Il était un prédateur, et comme les chats qui assassinent les souris pour se nourrir, il se nourrissait des humains. Il n’y avait rien de malsain. Même le comportement de son père vis-à-vis de sa personne lui paraissait normal à présent. Peut être qu’il s’était juste habitué au fond, parce qu’il n’était plus un simple humain. Sa culture était celle des Van Envrio, il vivait selon les règles du clan, comme un membre, tout simplement. Il s’amusait comme un petit fou même, il faut dire que le garçon avait toujours été joyeux et plaisantin ! Alors maintenant qu’il était éternel et qu’il pouvait embêter les gens de sa nouvelle famille, il se gênait pas! Il développa même des tics qui faisaient d’ailleurs flipper certain. Le premier était la nourriture, oui, même en se sentant bien vivant, il continuait de manger beaucoup plus que la normal, boire même ! Et cela le distrayait d’ailleurs très souvent. Il pouvait bien être concentré sur une futur victime, de l’autre côté du trottoir et finalement tourner la tête pour suivre du regard un homme avec un sandwich merguez. Là, généralement il remuait les bras dans tout les sens, ne sachant si il devait suivre la merguez ou la victime. Oui, il était un peu fou sur les bords… Même carrément d’ailleurs. Un autre était celui de mordre. Pour un vampire vous me direz que c’est normal, oui.. Mais lorsqu’il mordre, il ne boit pas forcement le sang. Enfaîte, il aime mâchouiller, croquer, il adore ses dents. Ainsi, à la demeure principale des Van Envrio, on entend souvent des trucs du genre « LACHE MA JAMBE TIMOTHEE !! ». A cela s’ajoute un amour sans limite de sa famille. Il n’hésite pas à leurs dires qui les aiment, parfois même de façon aussi flippantes que le fait Cain d’ailleurs. A force de trop traîner avec son père, qui vous vous en doutez à finit par devenir son amant, celui-ci déteignait sur Timothée.

      En résumé, il était vampire et la vie était belle. ♥️ Même si il souffrait tout de même, il ne le montrait pas et pensait rapidement à autre chose. Les siècles passèrent à nouveau, apportant son lot de changement, de nouveau dans la famille aussi. Et il y eut cette femme, une arrière petite cousine, plus ou moins. Elona, oui, s’était le nom que sa mère vampire lui donna. Elle avait de long cheveux couleurs sangs, des yeux azurs, et un sourire si tendre. Elle lui rappelait son Isabelle, sa si belle Isabelle. Il en tomba rapidement amoureux et faisait tout pour passer le plus de temps possible avec la demoiselle. Arrivant à peine chez les Van Envrio, le jeune homme se proposa pour l’aider, comme vous vous en doutez. Il était maladroit, mais elle lui trouva du charme, et ils s’aimèrent d‘un amour passionné qui semblait pouvoir durer l‘éternité.
      Malheureuse, les choses ne se passèrent pas comme ils le désiraient. On ne fit d’abord pas attention à eux. Au fond, dans cette famille, coucher avec tel ou tel, se n’était pas très important. Les relations étaient toujours très ambiguës. Seulement Cain n’était pas prêt à laisser le cœur de son bébé à un autre que lui, qu’importe son nom ou son sexe. Arriva se qui devait arriver. Cet amour finit en cendre, les cendres d’Elona consumées au soleil, cruel astre, cruel père. La vision de ses cendres s’envolant au vent, jamais il ne l’oubliera. Jamais, il ne lui pardonnera.

      Spoiler:



      CHAPITRE VI : UN PIEU EN PLEIN CŒUR.

      Et effectivement, il ne lui pardonna jamais. Après la mort d’Elona, il y eut un terrible affrontement entre Cain et Timothée. Cette fois-ci, le chef de clan sut qu’il ne pourrait pas apaiser la souffrance de son fils. S’était terminé, il ne pourrait plus jamais l’aimer. Cependant, pendant ce terrible combat, Cain ne cessait de répéter les mêmes mots. Ceux de son amour, celui qui devait excuser ses actes. Mais rien ne pouvait y faire, il lui avait prit son amante, celle que son cœur désirait plus que tout. Ils auraient put vivre heureux jusqu’à la fin des temps si cet homme ne s’était pas montré jaloux encore une fois. Ainsi, malgré l’amour qu’il avait un jour porté à cet homme, il planta sauvagement un pieu en sa chair. Celui-ci, dans son dernier souffle, affirma encore une fois qu’il l’aimait, puis il disparut à jamais. Timothée hurla alors, des larmes s’échappant de son étrange masque. Il l’avait fait encore une fois. Il l’avait tué, mais jamais cela ne lui rendrait son aimé. Non, et il avait tué son père, lui qu’il aimait et qu’il détestait tant. Il avait perdus deux personnes et alors que les membres de sa famille s’approchèrent en silence, il se releva, serrant ses poings, tremblant de douleur. Personne n’était intervenu, certains contrôlés par d’autres, ceux qui jugeaient que cette histoire devait ce régler entre eux. Il devînt alors le nouveau chef du clan, et dès qu’on prononça son nom, il ordonna que tous reprenne leurs prénoms d’humains. Pourquoi ? Parce qu’ils serraient témoin de leur véritable nature, celle d’humain maudit pour l’éternité. Frédérique Van Envrio était à présent son nom ; Chef de la famille, du clan Van Envrio.

      Les années qui s’en suivirent furent difficiles, Frédérique devant se remettre de tout cela. Cependant, il commençait à s’habituer à la douleur, cela faisait partie d’eux, les maudits. Et finalement, il retrouva le sourire et ses habitudes de fou furieux. Grâce aux siens, il fallait bien l’avouer. Les mœurs de la famille avait beau être des plus malsaines, s’était son clan, et il était prêt à tout pour protéger ceux qui portait son nom. Parce qu’à présent, Cain ne pouvait plus le faire, s’était son devoir de chef.

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      CHAPITRE VII : PREMIER ENFANT.

      Et après des siècles à se dire que s’était pas pour lui, le vampire finit par donner la vie à des enfants, lui aussi. Évidement il prend un grand soin à choisir ceux qui seront ses petits bébés. Ils les épiaient d’abord pendant des années et des années, les formaient parfois, avant de finalement les faire entrer dans le clan après les avoir tué, puis ressuscité. Il en prenait ensuite soin comme le ferrait n’importe quel père papa gâteau, même pire que cela vu que le vampire était un peu taré sur les bords. Ainsi, son caractère mélangeait de façon assez flippantes, les sous entendu qu’avaient parfois Cain, mais aussi sa propre façon d’être. Ainsi, il n’était pas rare qu’en apercevant l’un de ses petits chéris, il ne lui saute dessus en hurlant comme un débile qu’il lui avait manqué et qu’il allait lui faire tout plein de câlin pour rattraper le temps perdu. Oui, pour un père aimant, il l’était à fond ! S’était d’ailleurs avec la même force qu’il aimait les membres de sa famille, que se soit des cousins, des oncles ou autres ! La famille c’est sacré, surtout chez les Van Envrio ! Ils avaient beau être des vampires, la notion de clan était chez eux très développé, peut être parce que chacune de ses créatures avaient tout perdus.

      Spoiler:

      CHAPITRE VIII : L’APPEL.

      Et après des siècles et des siècles de vie agréable avec les siens, l’appel résonna en lui. Ses mots annonçant la fin du monde, la fin de tout. Vivant actuellement au japon avec les siens, il n’eut pas besoin de se déplacer grandement pour rejoindre la capitale ou à présent, il attend l’affrontement final.

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MessageSujet: Re: ~ { Frédérique Van Envrio. }   ~ { Frédérique Van Envrio. } Icon_minitimeVen 1 Mai - 16:03

    Faudra que je vois encore avec le pouvoir, mais bon, je le reste est finit. Je sais, je me suis tappé un kif sur les images. xD

    Validé moi même. ~
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MessageSujet: Re: ~ { Frédérique Van Envrio. }   ~ { Frédérique Van Envrio. } Icon_minitime

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